Sous les cocos des San Blas, la coco des trafiquants

Dans les années 20, les Kunas des îles San Blas ont arraché leur autonomie. La police panaméenne n’est donc pas habilitée à patrouiller dans l’archipel. Les trafiquants de cocaïne ont vite compris l’intérêt d’y faire transiter leur marchandise.