Quand la vie ne tient qu'à un fil !

 

5 000 tours dont 120 gratte-ciels et une armée d'hommes pour les nettoyer. A Shanghai, il n'est pas rare de découvrir le long des parois de ses colosses de verre, des silhouettes suspendues à un fil, sorte d'acrobate des temsp modernes, la plupart du temps, sans casque.

Ils sont des centaines à nettoyer les plus grandes tours de la mégalopole chinoise. Le nettoyage se fait entre une fois et six mois par an, à mains nues, pour un salaire journalier de 100 yuans, soit 10 euros.