A Shanghai, si l'on veut pratiquer le tai-chi, c'est au lever du soleil qu'il faut se rendre dans un parc. Dés 6 heures du matin, on croise des dizaines et des dizaines de chinois. Selon ceux qui le pratiquent, c'est à cette heure que l'énergie serait la plus pure en même temps que le réveil de la nature.
5 000 tours dont 120 gratte-ciels et une armée d'hommes pour les nettoyer. A Shanghai, il n'est pas rare de découvrir le long des parois de ses colosses de verre, des silhouettes suspendues à un fil, sorte d'acrobate des temsp modernes, la plupart du temps, sans casque.
Ils sont des centaines à nettoyer les plus grandes tours de la mégalopole chinoise. Le nettoyage se fait entre une fois et six mois par an, à mains nues, pour un salaire journalier de 100 yuans, soit 10 euros.
Révolu le temps où la Chine était taxée de mangeuse de chiens.
Aujourd'hui, le toutou est devenu une véritable star dans les foyers shanghaiens. Les récompenses flambent sur les avis de recherche. Sur celle-ci, son propriétaire offre 200 euros à celui qui le retrouvera!
Ceci n’est ni une plaisanterie, ni un jeu. Mais, bien, une des toutes dernières nouveautés qui fleurit sur le bureau des fonctionnaires chinois qui ont affaire au public. C’est d’ailleurs la première chose qui vous intrigue en arrivant à l’aéroportde Shanghai lorsque vous présentez votre passeport à la douane. Le scénario se répète ensuite au bureau de l’immigration lorsque vous devez renouveler votre visa. L’affaire est prise très au sérieux. Le vote est confidentiel et vous êtes gratifié d’un chaleureux merci métallique sortie de la machine dés que votre choix est fait. L’histoire ne précise pas pour autant les éventuelles retombées pour le fonctionnaire évalué.