Comment ça ils n'y étaient pas encore ? Barack Obama, le plus "technopresident" des chefs d'État a pondu, il y a quelques jours, son premier gazouilli et Bill Gates, le père de Microsoft, vient d'inaugurer son propre fils twitter. Ce grand "cyber-bond" en avant est, dans les deux cas, motivé par la catastrophe en Haïti. Mais cette arrivée de poids lourds doit certainement aussi avoir un sens pour le statut du célèbre service de microblogging ?