Hier j'ai proposé une analyse rationnelle de l'accord de Genève pour mes "amis" Facebook. Mal m'en a pris. Je suis consterné par la tonalité de certains commentaires qu'elle a provoqués.
C'est une valse en deux temps : Instagram décide de changer les termes de son service de partage de photos, puis retropédale (un peu). Tout ça parce que les utilisateurs ont peur que leurs photos soient revendus à leur insu. Étonnant ?
Les réseaux sociaux ne sont pas un eldorado pour la publicité. Contrairement à ce que pensaient beaucoup d'annonceurs, les utilisateurs de twitter, facebook et les autres ne sont pas sensibles aux pubs qu'ils rencontrent sur ces plateformes.
Nos vies sont (toujours plus) en ligne, c'est entendu. Qu'est-ce que ça change pour l'emploi (par temps de chômage de masse) ? Google peut-il seulement modifier la donne en France ? Elements de réponse.
la firme américaine Facebook vient de s'offrir trois noms de domaines comportant la mention "Facebook Newsroom". Une information qui n'a rien d'anecdotique.
La probabilité de voir un "FacebookPhone" arriver sur le marché se précise de plus en plus. Il aurait même déjà son petit nom : Buffy. Mais qu'est-ce qu'un tel smartphone apporterait à l'offre déjà existante ?
Quelques clics, beaucoup de contacts et une bonne dose d'enthousiasme ont suffi à des amis égyptiens pour organiser un convoi d'aide humanitaire vers la Libye.
Avec son nouveau système Message, le célèbre réseau social envoie un message trouble aux Google, Yahoo et autres : nous ne voulons pas faire de la concurrence aux emails, mais nous voulons les voir disparaître.
10 millions de fans sur Facebook et vous, et vous et vous ? On savait que la chanteuse Lady Gaga était avant tout un phénomène sur la Toile, on vient donc d'apprendre qu'elle ridiculisait le président des États-Unis Barack obama sur le célèbre réseau social.